Un gouvernement avec 27% des femmes et 28 % des jeunes
Après la publication du gouvernement d’Union sacrée de la nation, le Premier ministre a fait savoir que la prochaine étape est celle de présenter le programme de son gouvernement au Parlement. Son souhait est que ce programme qui sera présenté devant la représentation nationale soit validé. C’était au cours d’une conférence de presse qu’il a animée juste après la publication du gouvernement à l’immeuble intelligent.

Jean-Michel Sama Lukonde a expliqué le processus de désignation des membres de ce gouvernement. » Nous avons tenu compte du poids politique, de la société civile et des personnalités », a-t-il fait savoir. Le chef du gouvernement a reconnu que ce n’était pas un exercice facile, il a fallu beaucoup d’arbitrage pour arriver à ce chiffre.
27% des femmes et 28 % des jeunes
Selon lui, les facteurs genre et jeunesse ont fait parti de ce processus. Il y a 27 % des femmes avec un total de 15 personnalités féminines qui vont relever le défi attendu par la population, a mentionné le chef de l’exécutif national. Il a précisé que la représentativité féminine est qualitative. « C’est un effort et un pas qu’il faut poursuivre dans toutes les institutions du pays », a-t-il soutenu. C’est un premier pas dans le sens de la parité bien que c’arrive après le mois de mars, a-t-il renchérit. 80 % de nouveaux entrants.

S’agissant de la présence des jeunes, le Premier ministre a fait savoir qu’il a fallu un effort considerable avec les regroupements politiques pour atteindre un taux de 28 %. Le plus jeunes a 28 ans.
Concernant la Société civile et personnes vivant avec handicap, Jean-Michel Sama a expliqué la présence de madame Rose Mutombo Kiesse qui est une grande activiste et présidente de Cafco puis Me irène Esambo qui est retenue.

D’après lui, la publication du gouvernement est une premiére étape franchi. La prochaine étape est le Parlement pour présenter le travail acharné au quel nous sommes attendu afin d’linverser la tendance pour l’intérêt de la population et surtout l’insécurité à l’EST du pays.
Mathy Musau
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